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- Ne touchez pas à ma Babouche, coll. Premier Roman, Montréal, La Courte Échelle,
1988, 61 p.
À l’école, Carl a des problèmes, car Babouche, sa chienne, n’arrive pas à
faire la différence entre une mouffette et un chat noir et blanc, ce qui fait
qu’il sent lui-même la mouffette. Carl aime tout de même Babouche. Il la
protège tant qu’il peut contre la mesquinerie des autres, et Babouche joue,
elle aussi, son rôle de gardienne.
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- Babouche est jalouse, coll. Premier Roman, Montréal, La Courte Échelle, 1989,
62 p.
Carl s’amourache de la grande Véronique, qui prend sa défense face à Garry,
le dur de l’école. Babouche en devient jalouse et réagit négativement à
chaque fois que Carl en parle. Un jour, Véronique quitte l’école et la relation
de Babouche et de Carl redevient normale.
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- Sauvez ma Babouche, coll. Premier Roman, Montréal, La Courte Échelle, 1989,
62 p.
La relation entre Carl et Garry se transforme. Devenu le meilleur ami de
Garry, Carl apprend que le père de ce dernier a fait de la prison. Le séjour
forcé de Babouche à la fourrière lui fait par ailleurs entrevoir la fin imminente
de son histoire d’amour avec sa compagne vieillissante.
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- Ma Babouche pour toujours, coll. Premier Roman, Montréal, La Courte Échelle, 1990,
62 p.
Le vétérinaire a fait tout ce qu’il a pu, mais en vain. Babouche, la chienne
de Karl, est morte. Cela engendre chez Carl de la colère et de la peine.
Heureusement, l’espoir est de retour grâce à Garry, qui est prêt à donner son
chien Chausson à Carl, et grâce à Nicole, qui rassurera aussi Carl. Devenu
plus joyeux, Carl entreprend de rédiger la biographie de Babouche.