américains développent un
espace identitaire commun, celui du
Wild. Mais ils le traitent de deux façons
diamétralement opposées : pour London, c’est un lieu où il exprime sa conception
naturaliste
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Pour une analyse du naturalisme de Jack London en traduction, voir Gouanvic (2006).
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des choses, alors que pour le second Curwood la protection de la nature (et des animaux)
est son thème de prédilection et ce sera jusqu’à sa mort l’objet de l’essentiel de son
discours.
Références
-
- Curwood, James Oliver (1908). The Wolf-Hunters, a Tale of adventure in the
Wilderness. Indianapolis.
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- ________ (1909). The Gold-Hunters, a Story of life and adventure in the Hudson Bay
Wilds. Indianapolis.
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- ________ (1914). Kazan. Indianapolis.
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- ________ (1916). The Grizzly King, a Romance of the Wild. Garden City, N. Y.
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- Curwood/Midship, trad. (1922). Le Grizzly. Paris, G. Crès.
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- Curwood/Gruyer et Postif, trad. (1923). Les Chasseurs de loups. Paris, G. Crès.
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- ________ (1925). Kazan. Préface des traducteurs. Paris, G. Crès.
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- ________ (1926). Les Chasseurs d’or. Préface des traducteurs. Paris, G. Crès.
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- Gouanvic, Jean-Marc (1999). Sociologie de la traduction. Arras, Artois Presses
Université, coll. « Traductologie ».
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- Gouanvic, Jean-Marc (2006). « La Traduction du Wild en France : la culture
des grands espaces chez Jack London », Noëlle Sorin, dir. Imaginaires métissés
en littérature pour la jeunesse. Québec, Presses de l’Université du Québec, coll.
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- London/Comtesse de Galard, trad. (1906). L’Appel de la forêt. Lettre-préface de Paul
Bourget. Paris, F. Juven.
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- London/Gruyer et Postif, trad.(1923). Croc-Blanc. Introduction des traducteurs.
Paris, G. Crès.