Anklage: »[. . . ] la musique grégorienne accuse
l’aspect cérémonial (le culte de l’auto, le temple de l’automobile, le rituel des gestes, la messe de
fabrication)[. . . ]«.418
»[...] entre CALCUTTA et HUMAIN TROP HUMAIN, nous avons retrouvé la même démarche [...], le même parti pris de laisser faire, d’essayer de tirer le film dans le sens de nos réactions et que cette démarche du langage, de l’écriture, serve au spectateur à retrouver nos impressions.«419
Erneut bekennt sich Malle somit zu einer offenen Subjektivität der Darstellung. Dennoch bleibt das Montieren dieser Musik der einzige Effekt, den der Regisseur auf der Tonebene einsetzt. Die Hauptrolle spielt der Lärm in der Fabrikhalle. Malle fokussiert auf die permanente Geräuschkulisse, um dem Filmbetrachter möglichst realistisch die Lärmbelastung zu vermitteln. Auf den Aspekt der fehlenden Interviews ist bereits hingewiesen worden. Zieht man die Intention Malles hinzu, eine Achtstundenschicht wiederzugeben,420
»On s’était beaucoup posé la question s’il fallait faire parler les ouvriers ou pas. Moi, je me souviens, j’étais assez partisan de faire des interviews des ouvriers. Volker Schlöndorff était venu voir le film, il pensait aussi que cela serait bien de faire des interviews et Louis était très rigide: les bruits, les bruits, les bruits, rien que des bruits, pas de texte. Et finalement je trouve qu’il avait extraordinairement raison parce que ça fait que ce film ne se date pas et qu’il va à l’essentiel des choses, autrement cela aurait été bifurqué vers le problème des revendications, alors que là, il va à l’essentiel de l’horreur.«421
Der Aspekt des Lärms und das Fehlen von Stimmen, die sich an den Filmbetrachter richten, erschweren diesem die Rezeption des Werkes. Bereits im ersten Teil, vor allem jedoch im dritten macht sich die Monotonie der sich immer wiederholenden |